ImmunothĂ©rapie le fer de lance de la recherche contre le cancer. LâimmunothĂ©rapie reprĂ©sente un vĂ©ritable changement de paradigme en matiĂšre de prise en charge du cancer. PlutĂŽt que de chercher Ă frapper indistinctement toutes les cellules - cancĂ©reuses ou non - comme le font la radiothĂ©rapie et les chimiothĂ©rapies, il sâagit iciCoups de chaud au niveau du visage, du cou, du dĂ©colletĂ©, ou sueurs abondantes... Beaucoup de femmes sont gĂȘnĂ©es au quotidien par ces manifestations de la mĂ©nopause. Les substituts hormonaux ne sont pas la seule solution..LâactĂ©e Ă grappes noires, pour un mieux-ĂȘtre gĂ©nĂ©ralLâOrganisation mondiale de la santĂ© considĂšre les effets de lâactĂ©e Ă grappes noires Cimicifuga comme cliniquement prouvĂ©s dans le traitement des bouffĂ©es de chaleur, mais aussi des troubles du sommeil et de lâirritabilitĂ©. Comme l'explique le Dr Jean-Ernest Altherr, gynĂ©cologue LĂ©gĂšrement ĆstrogĂ©nique, elle agirait plutĂŽt sur lâhypophyse, Ă la base du cerveau, avec un effet rĂ©gulateur central. Il y a donc moins de contre-indications que pour dâautres plantes ĆstrogĂ©niques comme le soja, la sauge ou le houblon. »Comment utiliser l'actĂ©e Ă grappes noires contre les bouffĂ©es de chaleur ?On trouve des extraits secs standardisĂ©s en comprimĂ©s ou en gĂ©lules Solaray, Cimipax....Il faut atteindre 40 Ă 80 mg par jour, soit 1 Ă 2 comprimĂ©s de 20 mg, 2 fois par 3 Ă 4 semaines de traitement pour en Ă©valuer lâefficacitĂ©, et faire une cure de 3 mois prĂ©caution, Ă Ă©viter chez les personnes ayant souffert dâun cancer hormonodĂ©pendant sein, ovaire depuis moins de 5 ans. En cas dâantĂ©cĂ©dents familiaux, elle peut ĂȘtre envisagĂ©e sur avis essentielle de sauge sclarĂ©e en cas de sueurs de la mĂ©nopauseLa sauge est reconnue pour son effet ĆstrogĂ©nique qui compense la baisse hormonale, et pour son action antitranspirante. Lâhuile essentielle HE de sauge sclarĂ©e est intĂ©ressante si des sueurs importantes accompagnent les bouffĂ©es de chaleur. Je constate dans 70 % des cas une diminution des bouffĂ©es de chaleur au bout de 3 Ă 4 semaines », note le Dr utiliser l'HE de sauge sclarĂ©e Ă la mĂ©nopause ?On peut la prendre pure 1 goutte sur un sucre ou un comprimĂ© neutre, 2 Ă 3 fois par jour. Pour Ă©viter les risques de surdosage, on lâutilise diluĂ©e, sous forme de gĂ©lules ou de solution buvable prĂ©parĂ©e par le pharmacien », dit le 1 gĂ©lule ou 15 gouttes 2 ml dâHE dans un flacon de 60 ml dâalcool Ă 60° matin, midi et soir. Doubler la posologie si lâamĂ©lioration est insuffisante aprĂšs un mois et faire une pause au bout de 3 mois, avant de refaire une cure si nĂ©cessaire. LâHE de sauge sclarĂ©e contient beaucoup de phyto-ĆstrogĂšnes ne pas lâutiliser en cas dâantĂ©cĂ©dent personnel ou familial de cancer contre les bouffĂ©es de chaleurSans aucune contre-indication, l'homĂ©opathie est utile lorsquâon ne peut prendre aucun traitement hormonal ni phyto-ĆstrogĂšnes. Souvent, les bouffĂ©es de chaleur ne sont liĂ©es quâĂ la mĂ©nopause et pas Ă un terrain particulier. Il est donc assez simple dâutiliser les grands mĂ©dicaments qui correspondent Ă ce symptĂŽme », note la Dre Christelle Charvet, gynĂ©cologue homĂ©opathe. En 2012, une Ă©tude a montrĂ© que la spĂ©cialitĂ© homĂ©opathique ActhĂ©ane Boiron entraĂźnait une diminution des bouffĂ©es de chaleur dâenviron 37 % au bout de 12 semaines, soit 21,5 % de plus quâavec un traitement de fond, prendre ActhĂ©ane, 1 comprimĂ© Ă sucer 4 fois par jour. Y ajouter, au cas par cas, Lachesis 7 CH si les bouffĂ©es sont surtout nocturnes et sâaccompagnent de sueurs chaudes, et Belladonna 7 CH en cas de coups de chaud avec rougeurs », prĂ©cise le Dr Altherr, 3 granules 1 Ă 2 fois par jour + 2 autres Ă chaque amĂ©lioration, consulter un mĂ©decin homĂ©opathe pour une prescription plus physique pour gĂ©rer les fluctuations hormonales En gĂ©nĂ©ral, les femmes qui restent le plus actives Ă la mĂ©nopause sont celles qui souffrent le moins de ses effets, notamment des bouffĂ©es de chaleur », dit la Dre Charvet. Le sport aide en effet Ă rĂ©guler les fluctuations hormonales, trĂšs importantes Ă la mĂ©nopause. Il permet aussi de rĂ©duire le stress et le surpoids, qui ont tendance Ă aggraver les bouffĂ©es de 2012, une Ă©tude amĂ©ricaine a montrĂ© que les femmes avaient moins de bouffĂ©es de chaleur dans les 24 heures suivant une sĂ©ance de 30 minutes dâactivitĂ© cardio modĂ©rĂ©e. On pratique donc 2 Ă 3 fois par semaine au moins œ heure dâactivitĂ© qui essouffle un peu marche rapide, vĂ©lo, cours de fitness ou de danse, aquagym...Ce qui compte, câest la rĂ©gularitĂ© mieux vaut 3 fois œ heure quâune fois 1 h 30. On mise en plus sur les gyms douces yoga, tai-chi,qi gong... une Ă deux fois par semaine. Selon une Ă©tude rĂ©cente, 1 h 30 de yoga hebdomadaire permet de rĂ©duire de 66 % la frĂ©quence des bouffĂ©es de vidĂ©o A la mĂ©nopause, peut-on traiter les bouffĂ©es de chaleur sans hormones ?Lutter contre les comportements sĂ©dentairesUne nouvelle Ă©tude suggĂšre que le comportement sĂ©dentaire augmentait la probabilitĂ© de bouffĂ©es de chaleur nocturnes. Le comportement sĂ©dentaire prĂ©dit les bouffĂ©es de chaleur nocturnes, indĂ©pendamment du temps passĂ© Ă participer Ă une activitĂ© modĂ©rĂ©e Ă vigoureuse. "Ătant donnĂ© que les femmes proches de la transition de la mĂ©nopause consacrent une grande partie de leurs activitĂ©s quotidiennes Ă des comportements sĂ©dentaires, il est important de comprendre comment un tel comportement influence les bouffĂ©es de chaleur de la mĂ©nopause", explique le Dr Sarah Witkowski, physiologiste de l'exercice au Smith College et co-auteur de cette Ă©tude. Et de poursuivre "La connaissance de l'influence du comportement sĂ©dentaire sur les bouffĂ©es de chaleur peut amĂ©liorer les recommandations de mode de vie fondĂ©es sur des preuves pour les femmes souffrant de bouffĂ©es de chaleur". De nouvelles informations prĂ©cieuses pour identifier les facteurs qui dĂ©clenchent les bouffĂ©es de chaleur et, Ă©videmment, les soulager au mieux. LeBlack Cohosh est une plante largement utilisĂ©e en Europe pour le traitement de la mĂ©nopause et les bouffĂ©es de chaleur. Des Ă©tudes montrent que le Les bouffĂ©es de chaleur sont avec les sueurs nocturnes et la sĂ©cheresse vaginale des symptĂŽmes classiques de la mĂ©nopause. Les bouffĂ©es de chaleur peuvent ĂȘtre relativement discrĂštes ou au contraire trĂšs marquĂ©es et justifier un traitement. Le traitement classique des bouffĂ©es de chaleur repose sur le traitement hormonal substitutif THS Ă base dâun estrogĂšne et gĂ©nĂ©ralement dâun progestatif, traitement reconnu comme efficace, mais dont lâutilisation a Ă©tĂ© freinĂ©e par la mise en Ă©vidence au cours des 5 derniĂšres annĂ©es dâeffets indĂ©sirables dont nous avons dĂ©jĂ beaucoup parlĂ©, pour en savoir plus tapez THS mĂ©nopause dans Pharmacorama. Ces craintes Ă lâĂ©gard du traitement hormonal de la mĂ©nopause ont fait porter lâattention sur les traitements non hormonaux et la phytothĂ©rapie. Un article paru dans le JAMA du 3 mai 2006 intitulĂ© Nonhormonal therapies for menopausal hot flashes » et un autre article paru dans Archives of Internal Medicine du 24 juillet 2006 intitulĂ© Complementary and alternative therapies for the management of menopause-related symptoms » font le point sur ces traitements alternatifs. Les mĂ©dicaments non hormonaux qui ont montrĂ© une certaine efficacitĂ© dans le traitement des bouffĂ©es de chaleur sont les antidĂ©presseurs, la clonidine Catapressan* antihypertenseur et la gabapentine Neurontin* antiĂ©pileptique. On peut avoir une certaine rĂ©ticence Ă prescrire ces mĂ©dicaments dans cette indication sauf peut-ĂȘtre les antidĂ©presseurs si les bouffĂ©es de chaleur surviennent dans un contexte dĂ©pressif. La phytothĂ©rapie dans cette indication repose sur lâutilisation dâextraits de soja, de trĂšfle violet ou dâactĂ©e Cimicifuga racemosa contenant des phytoestrogĂšnes. La qualitĂ© et les rĂ©sultats des essais cliniques concernant ces produits sont trĂšs disparates et ils ne sont peut-ĂȘtre pas sans risques. Si lâeffet bĂ©nĂ©fique provient de lâeffet estrogĂšne des phytoestrogĂšnes, cet effet a-t-il moins dâinconvĂ©nient que celui de lâhormone naturelle, lâestradiol ? Sur le plan pratique on a peu de certitudes sur la composition exacte qualitative et quantitative des multiples prĂ©parations du commerce. Au total, le traitement hormonal estradiol et progestatif des bouffĂ©es de chaleur invalidantes reste sans doute le choix le plus appropriĂ© Ă condition dâutiliser des doses faibles pendant une durĂ©e courte. Un certain nombre de donnĂ©es rĂ©centes sont venues non pas lever les risques dĂ©crits prĂ©cĂ©demment mais les nuancer un traitement prĂ©coce juste aprĂšs la mĂ©nopause serait mieux tolĂ©rĂ© quâun traitement tardif plusieurs annĂ©es aprĂšs, lâestradiol en administration percutanĂ©e aurait moins dâinconvĂ©nients que lâestrogĂšne dâorigine Ă©quine utilisĂ© dans les Ă©tudes amĂ©ricaines. Pour plus de dĂ©tails voir la mise au point de lâAfssaps de 2006 . Voir aussi Association estroprogestative substitutive. Note Nous nâavons pas citĂ© le vĂ©ralipride, AgrĂ©al*,qui est un neuroleptique comme traitement possible des bouffĂ©es de chaleur en raison de son retrait du commerce courant septembre 2007 pour rapport bĂ©nĂ©fice risque dĂ©favorable, voir RETRAIT DU MARCHE DâAGREAL vĂ©ralipride.
Cettesolution naturelle sans hormone contient : - De lâextrait de pollen qui contribue Ă la rĂ©duction des bouffĂ©es de chaleur ; - Du magnĂ©sium et du DHA, omĂ©ga-3 naturel issu de poissons sauvages, qui sont bĂ©nĂ©fiques pour lâĂ©quilibre nerveux ; - De la vitamine B6 qui aide Ă la lutte contre la fatigue ; - De lâhuile dâonagre qui permet de prĂ©parer la peau.
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