Voire de MaĂ«l Guesdon, prĂ©sente une poĂ©sie que lâon pourrait qualifier de « poĂ©sie de la poĂ©sie ». Le sujet de cette poĂ©sie serait elle-mĂȘme, lâexpĂ©rience de la poĂ©si
Encoreun premier jour de l'an Que le temps nous apporte! Cette date donne l'Ă©lan Aux vĆux de toute sorte. Puissiez-vous, gais et bien portants, Quand reviendra la fĂȘte, En faire encore aprĂšs cent ans Oui, je vous le souhaite! MĂ©nages oĂč l'on voit liĂ© Le printemps et l'automne, Vieux maris, prĂšs de vos moitiĂ©s Que jeunesse aiguillonne, A bon droit, vous
Lepremier jour de l'an Les sept jours frappent Ă la porte. Chacun d'eux vous dit : LĂšve-toi! Soufflant le chaud, soufflant le froid, Soufflant des temps de toutes sortes, Quatre saisons et leur escorte Se partagent les douze mois. Au bout de l'an, le vieux portier Ouvre toute grande sa porte Et d'une voix beaucoup plus forte Crie Ă tout vent : Premier janvier!
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